21 août 2008
Col de Menufosse
Coup de projecteur sur les prés en contre-bas du Col de Menufosse, situé entre Basse-sur-le-Rupt et La Bresse.
18 août 2008
Cascade du Bockloch
08 août 2008
Moisson
07 août 2008
A voir absolument ...
... la pièce qui est jouée actuellement au Théâtre de Peuple de Bussang, "Le ravissement d'Adèle".
La disparition de la jeune adolescente Adèle, met tout le village sens dessus dessous : les rumeurs circulent, tout le monde accuse tout le monde ...
Le ravissement d'Adèle, c'est aussi le ravissement du spectateur !
La disparition de la jeune adolescente Adèle, met tout le village sens dessus dessous : les rumeurs circulent, tout le monde accuse tout le monde ...
Le ravissement d'Adèle, c'est aussi le ravissement du spectateur !
04 août 2008
C'est un jardin extraordinaire
C'est un jardin extraordinaire
Il y a des canards qui parlent anglais
Je leur donne du pain ils remuent leur derrière
En m'disant " Thank you very much Monsieur Trenet "
Charles Trénet aurait pu être inspiré par ce jardin qui longe sur plusieurs dizaines de mètres la route d'Esmoulières, à la sortie de Faucogney.
Une photo d'ensemble, même panoramique, ne refléterait absolument pas la réalité : une multitude de personnages et d'objets de toute nature et de toutes matières parsème le terrain.
De nombreux photographes de passage marquent l'arrêt et tentent quelques photos sous le regard amusé des nains, l'oeil courroucé du coq ou l'air réprobateur de l'oie, respectant les interdictions de pénétrer et ignorant la pancarte sollicitant une obole pour le "plaisir des yeux".
Certains "intellectuels cultivés" se gausseront de cet étalage de naïveté, mais, pour ma part, je respecte cette créativité simple qui se manifeste chez tous et partout.
Il y a des canards qui parlent anglais
Je leur donne du pain ils remuent leur derrière
En m'disant " Thank you very much Monsieur Trenet "
Charles Trénet aurait pu être inspiré par ce jardin qui longe sur plusieurs dizaines de mètres la route d'Esmoulières, à la sortie de Faucogney.
Une photo d'ensemble, même panoramique, ne refléterait absolument pas la réalité : une multitude de personnages et d'objets de toute nature et de toutes matières parsème le terrain.
De nombreux photographes de passage marquent l'arrêt et tentent quelques photos sous le regard amusé des nains, l'oeil courroucé du coq ou l'air réprobateur de l'oie, respectant les interdictions de pénétrer et ignorant la pancarte sollicitant une obole pour le "plaisir des yeux".
Certains "intellectuels cultivés" se gausseront de cet étalage de naïveté, mais, pour ma part, je respecte cette créativité simple qui se manifeste chez tous et partout.
03 août 2008
Quand la réalité ...
... rejoint la fiction !
Il y a quelque temps (archives Avril 2007), j'ai publié le message "Décrépitude" concernant la modélisation 3D d'une devanture ancienne et décrépite, qui était juste une réalisation imaginaire.
Lorsque j'ai photographié la boutique "Chez Monique" à Faucogney, j'ai réalisé que, parfois, la réalité rejoint la fiction ...
Il y a quelque temps (archives Avril 2007), j'ai publié le message "Décrépitude" concernant la modélisation 3D d'une devanture ancienne et décrépite, qui était juste une réalisation imaginaire.
Lorsque j'ai photographié la boutique "Chez Monique" à Faucogney, j'ai réalisé que, parfois, la réalité rejoint la fiction ...
A louer ...
... logement confortable dans localité en plein essor !
Je suis désolé d'être aussi cynique, mais une promenade photographique dans la petite localité haute-saônoise de Faucogney m'a amené à constater la décrépitude de ce lieu qui a connu des jours meilleurs, comme en témoignent les quelques belles demeures du centre historique, vides pour la plupart.
Le temps morne de ce début août ajoutait encore à la nostalgie qui se dégageait de ces rues désertes. Je n'ai croisé que quelques rares passants, enfants ou adolescents, qui m'ont tous salué ou renseigné avec sympathie.
Tout cela fait que je me suis interrogé sur cette France à deux vitesses : celle des villes modernes et actives aux habitants pressés et indifférents et celle des campagnes qui se meurent mais dont les rares résidents sont encore ouverts et serviables.
A la sortie de la localité, en direction d'Esmoulières, je me suis arrêté pour photographier cette maison richement fleurie dont le jardin "extraordinaire" s'étale sur plusieurs dizaines de mètres et où les nains côtoient les ânes, les lapins et les coqs ... ce qui témoigne d'une belle vitalité "artistique" même au fond de la campagne haute-saônoise.
Je suis désolé d'être aussi cynique, mais une promenade photographique dans la petite localité haute-saônoise de Faucogney m'a amené à constater la décrépitude de ce lieu qui a connu des jours meilleurs, comme en témoignent les quelques belles demeures du centre historique, vides pour la plupart.
Le temps morne de ce début août ajoutait encore à la nostalgie qui se dégageait de ces rues désertes. Je n'ai croisé que quelques rares passants, enfants ou adolescents, qui m'ont tous salué ou renseigné avec sympathie.
Tout cela fait que je me suis interrogé sur cette France à deux vitesses : celle des villes modernes et actives aux habitants pressés et indifférents et celle des campagnes qui se meurent mais dont les rares résidents sont encore ouverts et serviables.
A la sortie de la localité, en direction d'Esmoulières, je me suis arrêté pour photographier cette maison richement fleurie dont le jardin "extraordinaire" s'étale sur plusieurs dizaines de mètres et où les nains côtoient les ânes, les lapins et les coqs ... ce qui témoigne d'une belle vitalité "artistique" même au fond de la campagne haute-saônoise.
01 août 2008
Ligne bleue des Vosges
Cette photographie panoramique, prise depuis la Chaume du Grand Ventron, a été obtenue par fusion et assemblage de 6 clichés.
Cette technique de fusion permet d'obtenir plus de détails dans les différentes zones de l'image et en particulier ici, dans la succession des lignes de crêtes. On distingue, au delà de la plaine d'Alsace, le massif de la Forêt Noire en Allemagne. Selon les conditions atmosphériques et la saison, il n'est pas rare de voir les Alpes suisses.
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