Ce matin, j'ai dispersé tes cendres face à ce beau paysage où nous avions nos habitudes, à la belle saison : moi, lisant, assis sur un rocher, toi, Upsy, gambadant dans les prés, truffe au ras du sol. Profite à tout jamais de ta liberté. De temps en temps, je viendrai te tenir compagnie.
Tu nous manques.
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