Ces rondins étaient destinés à la fabrication de pâte à papier de luxe. Non seulement, le planeur enlevait l'écorce mais aussi la première couche de bois de l'année passée, pour permettre un séchage convenable. Après 4 à 6 mois, les rondins étaient râpés sur des meules en granit dans les papeteries vosgiennes. Cette activité d'écorçage qui se pratiquait en forêt, en bordure de route ou sur les quais de gare était effectuée par les bûcherons ou par des ouvriers d'usine ce qui leur apportait un complément de salaire.
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