28 décembre 2008
Remise
Modélisation 3D
Je me suis inspiré de cette photo vue sur "onexposure", site dédié à la photographie, pour modéliser l'architecture de cette remise et recréer l'ambiance lumineuse.
16 décembre 2008
Les Breuheux
02 décembre 2008
Nuages
J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas...
les merveilleux nuages!
les merveilleux nuages!
Cet extrait du poème "L'Etranger" de Baudelaire illustre très bien ce que que j'ai ressenti en prenant ce cliché. Après une assez longue marche dans une neige profonde, la vue de ces nuages vaporeux, rosissant dans la lumière du soleil déclinant, m'a donné un fort sentiment de liberté.
28 novembre 2008
Neige et givre
25 novembre 2008
Neige et brouillard
23 novembre 2008
Sous-bois enneigés
15 novembre 2008
Fin du jour
14 novembre 2008
Dépouillé !
A ce moment de l'année, pratiquement tous les arbres sont dépouillés de leur feuillage.
Pour accentuer cet effet, j'ai pris 3 clichés à différentes expositions et les ai fusionnés en HDR, ce qui fait apparaître plus de détails dans les branches et même dans les fils barbelés au second plan. J'ai désaturé cette nouvelle image de façon à n'obtenir que des niveaux de gris. Pour terminer, j'ai appliqué un filtre qui simule l'effet de la pellicule NB Kodak TriX, chère au coeur des photographes amateurs et professionnels, faisant "monter" le grain caractéristique de cette pellicule.
11 novembre 2008
Reflets
06 novembre 2008
Automne sur le lac
03 novembre 2008
Pour Marielle
Une photo de son village natal, Saint Maurice sur Moselle, au pied du Ballon d'Alsace.
En remerciement pour son commentaire sur le message "Col de Menufosse".
Ballon d'Alsace
Le sommet du Ballon d'Alsace qui "culmine" à 1247 m offre parfois une vue spectaculaire sur la plaine alsacienne envahie, comme ici, par une brume montante. Le soleil couchant, profitant d'une déchirure dans le plafond de nuages, illumine la chaîne de l'Oberland bernois, faisant apparaitre quelques sommets.
Selon les conditions atmosphériques, il n'est pas rare de distinguer nettement l'Eiger (3970 m), la Jungfrau (4158 m), la Matterhorn (Cervin, 4478 m), pour ne citer que les sommets les plus connus.
A l'extrême droite de la chaîne des Alpes, le massif du Mont Blanc est parfois visible ...
30 octobre 2008
Première neige
26 octobre 2008
Kaefferkopf
Le Kaefferkopf est le nom d'un terroir situé sur les collines sous-vosgiennes entre Ammerschwihr et Katzenthal. Ce terroir a reçu l'appellation "Grand Cru" pour le millésime 2007.
En cet automne doux et ensoleillé, le vignoble alsacien resplendit. Les vendangeurs cueillent les dernières grappes, laissant quelques cépages en réserve pour les vendanges tardives, qui donneront un vin extrêmement fruité.
22 octobre 2008
Nécropole
20 octobre 2008
Ammerschwihr
Une promenade photographique dans la vallée de Kaysersberg, m'a permis de prendre cette vue panoramique du village d'Ammerschwihr entouré par les vignes jaunissantes de l'automne.
Le soleil rasant de cette fin d'après-midi met en relief les parcelles de vignes sur la colline dominant le village. L'ombre des Vosges s'allonge déjà dans la plaine et assombrit les feuillages du premier plan.
Lumière et ombre se partageant le paysage, le rendu photographique n'a pas été facile ...
Lumière et ombre se partageant le paysage, le rendu photographique n'a pas été facile ...
15 octobre 2008
Dans le vignoble alsacien
Dernièrement, avec nos collègues et amis retraités, nous avions organisé un belle randonnée dans le vignoble alsacien.
Partis de Wettolsheim, nous sommes allés à travers les vignes et les sous-bois en direction des Trois Châteaux. Le pique-nique tiré des sacs fut pris au milieu d'une pinède clairsemée, nous permettant ainsi de profiter du soleil automnal. Après une halte dans les ruines des Trois Châteaux, nous avons entrepris la descente vers Husseren et Eguisheim, traversant le vignoble multicolore où les vendangeurs s'activaient encore. Le passage dans Eguisheim, village natal du Pape LéonIX, permit à certains de se reposer, à d'autres de visiter les lieux et aux amateurs de bon vin d'acheter quelques bouteilles ... Ragaillardis, nous sommes repartis d'un bon pas vers Wettolsheim, sous un ciel devenu plus menaçant.
Une belle journée qui a été immortalisée par la prise de nombreuses photos !
13 octobre 2008
Sympathique rencontre
Alors que je cherchais le meilleur angle pour photographier ce plan d'eau sur le plateau des Mille Etangs, je fus rejoint par un autre photographe, attiré lui aussi par la magnificence des lieux.
Nous avons engagé la conversation et échangé quelques idées sur les techniques de prises de vue et le traitement des images ... Il m'a fait part de l'adresse de son site photos sur Internet, me rappelant alors que nous nous étions déjà croisés lors de la semaine internationale de la photo à Riedisheim, ce printemps dernier.
Le site présente de magnifiques images des Vosges Alsaciennes. Guy Wurth, c'est le nom de ce photographe, sait si bien capter ces moments magiques où la lumière éclaire fugitivement le paysage et où la brume se déchire et dévoile la beauté simple des lieux.
De telles rencontres inattendues sont toujours enrichissantes.
10 octobre 2008
Désert et autres romans
C'est avec humilité que j'ose parodier des titres de romans, tels "Mondo et autres histoires", "Printemps et autres saisons", publiés par JMG Le Clézio, nouveau prix Nobel de littérature.
J'ai découvert ce magnifique auteur, au tout début des années 80, suite à la lecture d'un article du magazine Le Point, intitulé : "On n'a plus peur de Le Clézio ... ". Ce titre accrocheur m'a fait acheter son roman en vogue "Désert" publié en 1980.
Ce livre, emporté dans mon sac à dos, je l'ai lu et relu, dans la froide solitude des crêtes vosgiennes, rêvant de la beauté aride des paysages dépeints par l'écriture musicale de Le Clézio.
Quelques années plus tard, je cherchais encore Lalla dans la petite fille curieuse guettant l'arrivée des "trekeurs" à l'entrée de son village haut perché de l'Atlas ou croyais voir le Hartani, dans le jeune berger du Rif marocain ...
Par la suite, j'ai attendu avec impatience la sortie de ses nouveaux romans, dévorant entre temps les publications antérieures.
Dans une nouvelle de "La ronde et autres faits divers", j'étais au côté de ce travailleur immigré, passant en fraude la frontière italienne et qui, dans la froidure de la nuit, regardait avec espoir et anxiété les lumières de la ville en contre-bas, la nostalgie de son pays commençant son travail de sape ... Ce sont des thèmes qui reviennent souvent dans les romans de Le Clézio : le départ, la solitude, l'illusion d'un ailleurs meilleur, la nostalgie ...
J'étais au milieu de l'ouragan avec mes élèves, lorsque je leur lisais des passages du "Chercheur d'or", ouragan qui a détruit la plantation familiale des ancêtres de l'écrivain dans l'île Maurice.
Sur une plage de Vendée, j'ai entendu les coups de pioche du grand-père à la recherche d'un trésor illusoire dans l' île de Rodriguès...
Dans la lignée de ses romans biographiques, je me réjouis de lire "Ritournelle de la faim" qui vient d'être publié.
08 octobre 2008
Piments
Pour cette photographie, je me suis inspiré du cliché d'Edward Weston datant de 1930, intitulé "Pepper".
La couleur, le volume et la brillance des piments de Cayenne me semblaient intéressants pour un rendu photographique.
05 octobre 2008
Manipulations
Par ces 3 clichés pris à quelques minutes d'intervalle et à quelques mètres de distance, j'ai voulu montrer à quel point le cadrage et la couleur peuvent donner une signification et une interprétation totalement différentes de l'image.
Ce cadrage couleur mettant en scène l'usine et la vache, signifie que nous sommes en pleine campagne (ici à Corbenay en Haute-Saône). Cette image nous interpelle sur l'impact de la pollution pour la végétation et les animaux et par là même pour l'être humain à travers la chaine alimentaire : le lait donné par cette vache contiendrait-il de la dioxine ?
Ce 2ème cliché en "couleur" est sorti de son contexte par un cadrage différent. La pollution parait moins agressive dans un ciel serein. Certes, il y a de la fumée, mais celle-ci n'empêche pas le ciel d'être bleu, le soleil de briller, les arbres d'être verts ... Le panache de fumée peut même paraitre esthétique !
Ce même cadrage volontairement très contrasté en noir et blanc, donne une image très inquiétante : le panache de fumée est lourd de menaces, il roule dans un ciel d'encre et a du mal à s'élever. La végétation terne masque en partie une mystérieuse usine ... Qu'y fabrique-t-on ? Que brûle-t-on ?
Ainsi, une même image peut être facilement modifiée à l'aide de logiciels informatiques et avoir un impact différent sur le spectateur... l'imagination faisant le reste.
Dire que l'on pensait dans les premières années de l'invention de la photographie, que l'image obtenue était le reflet exact de la réalité!
Ce cadrage couleur mettant en scène l'usine et la vache, signifie que nous sommes en pleine campagne (ici à Corbenay en Haute-Saône). Cette image nous interpelle sur l'impact de la pollution pour la végétation et les animaux et par là même pour l'être humain à travers la chaine alimentaire : le lait donné par cette vache contiendrait-il de la dioxine ?
Ce 2ème cliché en "couleur" est sorti de son contexte par un cadrage différent. La pollution parait moins agressive dans un ciel serein. Certes, il y a de la fumée, mais celle-ci n'empêche pas le ciel d'être bleu, le soleil de briller, les arbres d'être verts ... Le panache de fumée peut même paraitre esthétique !
Ce même cadrage volontairement très contrasté en noir et blanc, donne une image très inquiétante : le panache de fumée est lourd de menaces, il roule dans un ciel d'encre et a du mal à s'élever. La végétation terne masque en partie une mystérieuse usine ... Qu'y fabrique-t-on ? Que brûle-t-on ?
Ainsi, une même image peut être facilement modifiée à l'aide de logiciels informatiques et avoir un impact différent sur le spectateur... l'imagination faisant le reste.
Dire que l'on pensait dans les premières années de l'invention de la photographie, que l'image obtenue était le reflet exact de la réalité!
02 octobre 2008
Triptyque
01 octobre 2008
29 septembre 2008
Brume d'Automne
21 septembre 2008
Vitrail de l'église Saint-Martin
En cette deuxième journée du Patrimoine, les portes se sont ouvertes ...
J'ai visité la petite église romane Saint-Martin de Ville sur Illon. On pense que cette église est antérieure au Xème siècle.
Les grands vitraux du choeur à cinq pans sont en partie masqués par l'autel. Seul, le vitrail de la chapelle Nord est bien visible.
Vitraux de l'église de Bouzemont
Dans le cadre des journées du Patrimoine, je pensais que les petites églises romanes de la Vôge, qui habituellement sont fermées, seraient ouvertes. Malheureusement, ce ne fut pas le cas.
Une des rares à accueillir les visiteurs était celle du petit village haut-perché de Bouzemont qui a gardé toute son authenticité et dont les vitraux sont magnifiques.
18 septembre 2008
Deux frères
10 septembre 2008
08 septembre 2008
Vesses-de-loup
04 septembre 2008
Chashitsu
Modélisation 3D
Le "Chashitsu" est un petit pavillon isolé dans le jardin japonais qui sert à la cérémonie du thé "Chanoyu"
Dans cette modélisation, j'ai essayé de rendre l'atmosphère de quiétude, propice à la méditation, qui doit y régner. La pièce, au mobilier dépouillé et à la décoration sobre, est inondée par la lumière douce du lever de soleil voilé de brume.
Le "Chashitsu" est un petit pavillon isolé dans le jardin japonais qui sert à la cérémonie du thé "Chanoyu"
Dans cette modélisation, j'ai essayé de rendre l'atmosphère de quiétude, propice à la méditation, qui doit y régner. La pièce, au mobilier dépouillé et à la décoration sobre, est inondée par la lumière douce du lever de soleil voilé de brume.
21 août 2008
Col de Menufosse
18 août 2008
Cascade du Bockloch
08 août 2008
Moisson
07 août 2008
A voir absolument ...
... la pièce qui est jouée actuellement au Théâtre de Peuple de Bussang, "Le ravissement d'Adèle".
La disparition de la jeune adolescente Adèle, met tout le village sens dessus dessous : les rumeurs circulent, tout le monde accuse tout le monde ...
Le ravissement d'Adèle, c'est aussi le ravissement du spectateur !
La disparition de la jeune adolescente Adèle, met tout le village sens dessus dessous : les rumeurs circulent, tout le monde accuse tout le monde ...
Le ravissement d'Adèle, c'est aussi le ravissement du spectateur !
04 août 2008
C'est un jardin extraordinaire
C'est un jardin extraordinaire
Il y a des canards qui parlent anglais
Je leur donne du pain ils remuent leur derrière
En m'disant " Thank you very much Monsieur Trenet "
Charles Trénet aurait pu être inspiré par ce jardin qui longe sur plusieurs dizaines de mètres la route d'Esmoulières, à la sortie de Faucogney.
Une photo d'ensemble, même panoramique, ne refléterait absolument pas la réalité : une multitude de personnages et d'objets de toute nature et de toutes matières parsème le terrain.
De nombreux photographes de passage marquent l'arrêt et tentent quelques photos sous le regard amusé des nains, l'oeil courroucé du coq ou l'air réprobateur de l'oie, respectant les interdictions de pénétrer et ignorant la pancarte sollicitant une obole pour le "plaisir des yeux".
Certains "intellectuels cultivés" se gausseront de cet étalage de naïveté, mais, pour ma part, je respecte cette créativité simple qui se manifeste chez tous et partout.
Il y a des canards qui parlent anglais
Je leur donne du pain ils remuent leur derrière
En m'disant " Thank you very much Monsieur Trenet "
Charles Trénet aurait pu être inspiré par ce jardin qui longe sur plusieurs dizaines de mètres la route d'Esmoulières, à la sortie de Faucogney.
Une photo d'ensemble, même panoramique, ne refléterait absolument pas la réalité : une multitude de personnages et d'objets de toute nature et de toutes matières parsème le terrain.
De nombreux photographes de passage marquent l'arrêt et tentent quelques photos sous le regard amusé des nains, l'oeil courroucé du coq ou l'air réprobateur de l'oie, respectant les interdictions de pénétrer et ignorant la pancarte sollicitant une obole pour le "plaisir des yeux".
Certains "intellectuels cultivés" se gausseront de cet étalage de naïveté, mais, pour ma part, je respecte cette créativité simple qui se manifeste chez tous et partout.
03 août 2008
Quand la réalité ...
... rejoint la fiction !
Il y a quelque temps (archives Avril 2007), j'ai publié le message "Décrépitude" concernant la modélisation 3D d'une devanture ancienne et décrépite, qui était juste une réalisation imaginaire.
Lorsque j'ai photographié la boutique "Chez Monique" à Faucogney, j'ai réalisé que, parfois, la réalité rejoint la fiction ...
Il y a quelque temps (archives Avril 2007), j'ai publié le message "Décrépitude" concernant la modélisation 3D d'une devanture ancienne et décrépite, qui était juste une réalisation imaginaire.
Lorsque j'ai photographié la boutique "Chez Monique" à Faucogney, j'ai réalisé que, parfois, la réalité rejoint la fiction ...
A louer ...
... logement confortable dans localité en plein essor !
Je suis désolé d'être aussi cynique, mais une promenade photographique dans la petite localité haute-saônoise de Faucogney m'a amené à constater la décrépitude de ce lieu qui a connu des jours meilleurs, comme en témoignent les quelques belles demeures du centre historique, vides pour la plupart.
Le temps morne de ce début août ajoutait encore à la nostalgie qui se dégageait de ces rues désertes. Je n'ai croisé que quelques rares passants, enfants ou adolescents, qui m'ont tous salué ou renseigné avec sympathie.
Tout cela fait que je me suis interrogé sur cette France à deux vitesses : celle des villes modernes et actives aux habitants pressés et indifférents et celle des campagnes qui se meurent mais dont les rares résidents sont encore ouverts et serviables.
A la sortie de la localité, en direction d'Esmoulières, je me suis arrêté pour photographier cette maison richement fleurie dont le jardin "extraordinaire" s'étale sur plusieurs dizaines de mètres et où les nains côtoient les ânes, les lapins et les coqs ... ce qui témoigne d'une belle vitalité "artistique" même au fond de la campagne haute-saônoise.
Je suis désolé d'être aussi cynique, mais une promenade photographique dans la petite localité haute-saônoise de Faucogney m'a amené à constater la décrépitude de ce lieu qui a connu des jours meilleurs, comme en témoignent les quelques belles demeures du centre historique, vides pour la plupart.
Le temps morne de ce début août ajoutait encore à la nostalgie qui se dégageait de ces rues désertes. Je n'ai croisé que quelques rares passants, enfants ou adolescents, qui m'ont tous salué ou renseigné avec sympathie.
Tout cela fait que je me suis interrogé sur cette France à deux vitesses : celle des villes modernes et actives aux habitants pressés et indifférents et celle des campagnes qui se meurent mais dont les rares résidents sont encore ouverts et serviables.
A la sortie de la localité, en direction d'Esmoulières, je me suis arrêté pour photographier cette maison richement fleurie dont le jardin "extraordinaire" s'étale sur plusieurs dizaines de mètres et où les nains côtoient les ânes, les lapins et les coqs ... ce qui témoigne d'une belle vitalité "artistique" même au fond de la campagne haute-saônoise.
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